08-01-2023: CA Jette vs. ASUB Tennis A (45-56)

Eeeh ben, l’assiette XL de Jette vaut vraiment le coup 😁

(On me souffle dans l’oreillette qu’on a joué au panier-ballon un peu quand même, avant, donc reprenons)

10 (oui, dix) Asubiens bien matinaux pour rendre visite à Jette ce matin, équipe joueuse et avec pas mal de basket.

Heureusement, on aime jouer aussi, et on a pu aligner une équipe bien équilibrée. On commence d’ailleurs assez fort, en allant chercher les points à l’intérieur. Mais nos hôtes résistent bien, leur secteur intérieur a du répondant, et dans un temps moins fort chez nous, ils reviennent à quelques points.

Ça sera d’ailleurs une constante dans ce match. Globalement, on prend de bons shoots et on garde l’avance, avec l’adversaire qui alterne aussi de bons et moins bons moments (aussi provoqués par notre défense sur l’homme pendant 40 minutes, résolution du 8 janvier, tout ça).

À la mi-temps, on se dit qu’idéalement, on va essayer de s’éviter des frayeurs dans le 4e. Ça a grosso modo fonctionné. Quand on a serré la défense et fait tourner, on est toujours parvenu à trouver de bonnes solutions.

Le match continue ainsi, on garde 8-10 points jusqu’à la fin, moment choisi par l’adversaire pour faire rentrer son arme secrète, mais pas franchement dangereuse, un Monsieur de 93 ans qui a beaucoup de mérite d’encore participer.

Pas de frayeur majeure donc, tout le monde participe et on gagne de 11 points.

Bon match de reprise dans l’ensemble, et on a finalisé en remportant la troisième mi-temps sans ciller.

J’ai dit que l’assiette valait le coup ? Paaarfait, la boucle est bouclée.

Bonne fin de dimanche à tous 🙂

Chroniques d’un Asuboski réussi

Acte I – Débarquement entre sandwichs et croissants

Tout le monde est en forme pour quitter l’humidité bruxelloise de bonne heure ce jeudi matin. Entre selfies des différents convois, croissants et sandwichs, on savait qu’Aurélien, Jo et Serge arriveraient les premiers « pour déjeuner ». Fred, Richard et moi avons le réflexe de les rejoindre à la brasserie. La tartiflette avait l’air sympa. Plus sages (absolument pas), Alex, Phil’ et Vincent vont à l’hôtel. Avec une équipe presque au complet, on se réjouit de la bonne organisation orchestrée par Jo, dans un hôtel qui conviendra très bien tout au long du séjour.

Après l’installation, c’est l’heure de l’apéro. Tiens, mais il est où Sergio ? Il cause avec Céline, sans doute pas franchement coquine, mais avec sa vision plutôt large du all-in, elle a tout pour devenir notre copine.

Le all-in justement, parlons-en. Une excellente formule pour une équipée comme la nôtre. Tu dois parfois un peu négocier, entre 17h50 et 18h30, mais globalement, même sans Jack dans ton coca, c’est quand même bien pratique. On entend d’ailleurs parfois le personnel appeler leurs collègues pour recharger le bar, et on plaide totalement coupables pour ce chef d’accusation.

Dany arrive pour compléter l’équipe et finir l’apéro. Après une bière ou huit, on voit que Fred (ne sait absolument pas mentir, mais) a toujours le chic pour les belles petites attentions. Coiffés de nos beaux bonnets asubiens, première photo de groupe pour donner envie aux copains restés en Belgique. C’est décidé, ce séjour s’appellera l’Asuboski.

Après un bon buffet et quelques petites blagues supplémentaires avec une mini chartreuse qui brûle un peu, première soirée assez bien gérée, tactique Cendrillon quasi respectée, au lit vers minuit.

Acte II – Entre demie et purée de pois

Le buffet petit déjeuner est plutôt copieux, et on en aura bien besoin. Après enquête et malgré différents témoignages pas franchement anonymes, impossible de décider d’un vainqueur pour le concours du plus gros ronfleur.

Il est temps de monter pour s’équiper. Constante pendant quasi tout le séjour, les files ne sont pas bien longues, le week-end est bien choisi pour cette petite escapade. On prend un peu de temps, et un montage d’exosquelette, mais tout le monde a hâte de commencer la glisse.

Parenthèse mode (oui, oui), ça aime bien les tons sombres, dans les rangs asubiens. Ça ne facilite pas toujours les choses, mais le pantalon vert de Fred, et les combis/vestes bleue et jaune de nos jeunes skieurs/surfeurs Alex et Richard aident à s’y retrouver.

Tout le monde sait descendre, et les moins fluides (je parle de moi) peuvent compter sur les conseils avisés de Phil’ qui, sans grande surprise, pourrait très bien être moniteur et guide de haute montagne (en plus d’être le mécano perso de Dany).

Aurélien enquête auprès de – sans doute – locaux pour nous concocter un itinéraire jusqu’à un chalet. Ça glisse, on se suit sans s’enquiller jusqu’au chalet en question, pour se restaurer et descendre une mousse ou l’autre, un jus de raisins ou trois, et un café.

Tiens, mais il est où Sergio ? Il négocie un Génépi avec Natalia et lui demande si c’est fréquent, les piercings dans le nez, en Colombia. Elle lui demande sans doute sa marque de crème solaire, pour être sûre de ne jamais en acheter.

Vient ensuite le temps de la décision de l’après-midi, entre demi-finale belge et ski dans le brouillard. L’équipe demi-finale réfléchit au génépi, tellement bien qu’ils en découvriront les joies de la navette. les autres se perdent dans une purée de pois. Dany nous concocte un itinéraire pour l’après-midi, mais honnêtement, on se demande toujours comment on est rentrés :D.

Fort heureusement, un bon apéro jeux et le buffet sont là pour nous retaper. Et un pousse ou l’autre, sans café.

Acte III – L’équilibre Alpette/sieste

Quelques nuages toujours présents le samedi, mais ça ne nous ralentit pas. On passe côté Megève pour voir ce que ça fait de côtoyer des fourrures. Fort beau domaine de ce côté-là aussi, belles pistes dégagées au soleil, plaisir de la descente.

Puis on décide de découvrir l’Alpette, ses belles tables et son plat du jour maturé. On remplacera le plat par du blanc, pas mal de fromage et trop de frites, mais ça valait le coup. Résultat des courses, neuf bonnets sur dix sur la photo finish, on s’en sort bien.

Tiens, mais il est où Sergio ? À côté d’Aurélien, perdu dans ses négociations d’une probablement neuvième bouteille de blanc avec Marion.

Pour l’après-midi, on met le pilotage automatique pour assurer la descente, avant de descendre un autre verre en mode transat-terrasse. De retour en bas, petit miracle de n’avoir perdu personne. Certains rentrent, d’autres restent, sombre histoire d’EVJF et vapeurs d’alcool dans les télécabines.

Tout ça nous a bien fatigués, il était temps de rentrer. Les malins vont faire une sieste, les optimistes testent les zombies. L’équilibre est difficile à trouver, mais au final tout le monde est là pour manger.

Un petit peu de marche pour digérer ? Excellente option, autant visiter Saint-Gervais by night. C’est pas super animé, mais après quelques shots et des bières trop grandes, c’est nous l’animation.

Ça se termine avec quatre mousquetaires aux Trois Mousquetons, avec les yeux qui pétillent et des discussions aussi colorées que les chemises hawaïennes des gars sur place. On rentre sans s’égarer, la voiture est garée on ne sait trop comment, gare au réveil.

Acte IV – Le chocolat-gnôle avant la pluie

Réveil un peu décalé, concentration pour rassembler ses brols, bénédiction de copieux petit déjeuner. Le check-out se fait progressivement, les gens de la réception voient très bien qui on est.

Dernière remontée vers le pied des pistes. Tiens, mais il est où Sergio ? Il cause avec Catherine et Jean-Michel, en attendant Aurélien. Pratique, des pistards pour nous guider, ça évite de devoir trop se concentrer.

Ça nous permet aussi de découvrir une petite terrasse isolée. Pas de Grand Marnier dans le chocolat pour cette pause réclamée depuis trois jours par le vice-président, mais quand même un peu de gnôle chocolatée, pour les téméraires.

C’est l’heure des dernières pistes. Avec un tel soleil, on sait déjà que Saint-Gervais va nous manquer. Les convois se réorganisent et se mettent en route, ça cause hockey et ours, théâtre et philo bien entendu, ça chante allemand, et tout le monde rentre à bon port.

Tiens, mais il est où Sergio ? C’est bon, il est rentré sous la pluie avec Dany, et après cet Asuboski réussi, comme tout le monde, il est quand même content d’être dans son lit.

16-02-2020: DERBY ASUB !!!

Aaaah les derbys. Le genre de match où il y a un petit degré en plus dans la salle. Où tu sais que le résultat influencera la convers’ au Pickwick. Où la mousse d’après match a cette petite bulle en plus en cas de victoire, et ce petit arrière-goût amer en cas de défaite.
En ce dimanche matin, du monde sur le pont, une fois l’entrée (de gauche) trouvée. La feuille est remplie, au moins de notre côté. Les yeux sont plus ou moins ouverts, les haleines plus ou moins fraîches. Début du match, le moteur est un peu froid. Match sans vrai rythme, premier quart équilibré. Sans hyper bien jouer, on reste dans le match.
Qui dit deuxième quart-temps, dit deuxième vitesse. On la passe, et le All-Star se demande toujours où on est. Défense bien en place, attaque assez patiente. On encaisse un petit point en dix minutes, l’écart est creusé. 15 points d’avance à la mi-temps.
En deuxième, le moteur ronronne et le Tennis ne sera pas vraiment inquiété. Rach’ dirige la défense, Marc est présent en dessous (et plus c’est compliqué, plus ça rentre), Costa revisite le bras roulé, au grand dam d’une Ritalie un peu dépassée. Tout roule, l’écart grimpe, le Tennis gère, et ouf qu’on est sympa, sinon ça tournait à la correction. Cruise control enclenché, victoire à l’arrivée, 56-36.
La mousse est plutôt pétillante

 

Comme j’ai encore un peu d’encre)
Soulignons le beau match réserves, avec une seconde feuille à dix noms (ce dimanche fera date). Après un début de match somme toute équilibré, le Tennis perd un peu de terrain. Malgré cela, un sursaut d’orgueil verra nos couleurs s’accrocher, et revenir quelque peu. Les adversaires exploitent néanmoins assez bien leurs opportunités. Sergio fait la grue dans son coin, Vince se rappelle pourquoi le basket du nord du pays ne lui convient que moyennement… Et à l’arrivée, malgré les encouragements de la classe – assez littéralement – biberon et une belle combativité, le Tennis doit s’incliner d’une dizaine de points.
On notera que la troisième mi-temps a été remportée sans trop de difficultés, à la mousse comme à la pizza.
Un bon moment au bar avec tout le monde, et un bon moment après au Brussels. Parce que l’ASUB, c’est ça aussi.
Bonne nuit tout le monde ?

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Et puis Philippe en action !!

02-02-2020: Royal 66 vs. ASUB Tennis 73

Le Tennis sur le pont de très bonne heure ce matin, pour un match face à une équipe actuellement sur le podium du championnat. L’opposition s’annonçait corsée. Fort heureusement, les troupes sur le front sont présentes en nombre : dix joueurs sur la feuille. Après quelques rots et autres gargouillements d’estomac pendant l’échauffement, le match commence, sur un rythme pas hyper élevé. On n’a jamais su mettre beaucoup de rythme contre cette équipe par le passé. Spoiler alert : on n’y est pas vraiment parvenu aujourd’hui. MAIS après quelques fluctuations, et malgré la belle réussite adverse, le match est très équilibré. Le Royal est devant, mais ne creuse pas l’écart. On tente de faire travailler leur défense, le secteur intérieur se bat et prend des fautes, la balle ressort bien quand il faut, Alexis est chaud derrière la ligne, on s’accroche. La mi-temps est sifflée avec un petit retard.
Le deuxième acte est un travail de sape. Les pivots vont toujours chercher des fautes, et l’adversaire met un certain temps à se dire « Tiens, on devrait peut-être sortir sur leur distributeur. » Punition assez immédiate, Rach’ les arrose, tournée gratuite et pas forcément minérale. On enregistrera dix trois points au total, pour l’équipe, sur le match. L’adversaire fatigue mais l’écart ne passe jamais les cinq points, dans un sens ou dans l’autre. La défense individuelle (yep, un dimanche matin) du Tennis les use. Le Tennis passe devant. Mais comme on est joueurs, on leur donne quelques balles faciles. Les dernières minutes restent tendues et sont une question de gestion (yep, toujours dimanche). Et à ce petit jeu, le Tennis s’en sort bien. Petit écart, pas mal de lancers, adversaire fatigué puis réduit à quatre en toute fin de match. On tient bon, pour s’imposer 66-73 (je pense) : une fort belle victoire à l’usure, qui fait du bien au moral. On a été faire du bien à nos gosiers juste après.
Première mi-temps perdue, deuxième mi-temps gagnée, troisième mi-temps remportée sans opposition.
Le Tennis du dimanche matin a plutôt bonne gueule.

17-01-2020: RPC Anderlecht 62 vs. ASUB Tennis 54

Un match à deux visages. Le premier, en première mi-temps, est assez moche. Du genre de moche que tu veux pas ramener même sur un malentendu et qu’il fait sombre dans la soirée. L’esprit de la rencontre est fair play, mais les arbitres n’aident pas, des deux côtés (de l’avis de tous les joueurs), et ça met un peu de tension. La tension fait gambader les gens, et au jeu du gambadage, on est derrière contre une équipe d’Anderlecht jeune et physique. On n’a pas le contrôle de l’espace aérien non plus, avec des des rebonds-volley de l’adversaire, et ça donne pas mal de deuxièmes, voire troisièmes options à nos hôtes du soir.
Bref (ou pas), une quinzaine de points de déficit à la mi-temps.

Le second visage est plus avenant. Du genre farouche d’abord, pour ensuite donner le max. Le troisième quart-temps voit donc un Tennis déjà plus entreprenant, la première mi-temps (et un croissant) est digérée. Malgré les effectifs réduits de notre côté (à 7 dont un à la table), les échanges s’équilibrent.
Vient le quatrième quart, qui sonne la charge. Un (environ) 10-0 bien tassé, des mouvements incisifs, un Xavier tranchant de près et précis de loin sans les bières du jeudi, un Fred calmé qui lâche son flotteur patenté à 5 mètres, des pivots combatifs sous l’anneau. L’écart fond, le doute s’installe à Anderlecht. Ils peuvent néanmoins compter sur de solides individualités pour stopper l’hémorragie. On se bat jusqu’au bout, pour échouer à 62-54, mais avec la satisfaction d’avoir montré un bien meilleur visage en deuxième mi-temps.
Du bien moche au plus mordant, on retiendra l’ASUB de la deuxième mi-temps.

Dimanche 08/01/2017: BABABRU-ASUB 48-45

Le choc de cette journée a tenu toutes ses promesses : combat physique, âpre mais régulier, intensité maximale, suspens et dénouement final dans la dernière minute.

Cette nouvelle équipe a du répondant. Un jeu intérieur riche avec à la fois un pivot surpuissant (me suis cogné dessus avec mes 105 kg, il a pas bougé mais moi je tremble encore) et un autre très remuant. Et des ailiers virevoltants et rapide, très (enfin par rapport à nous en tout cas…).

Malgré l’absence de Rach (mais qui nous a bien manqué face à une telle équipe, surtout  dans la gestion de fin de match), nous avons fait jeu égal durant quasi toute la partie.

Le duo Costa/Dany se chargeait avec « tact » du molosse  tandis qu’Alexis, chaud comme la braise allumait le dancefl…sorry le parquet de l’Asub arena.

Coach Fred multipliait les changements et se chargeait lui-même de remettre le jeu dans le bon sens quand le besoin s’en faisait sentir.

Mais au final, le physique a payé et malgré une très belle résistance, on a du s’incliner d’un fifrelin.

Mais ce que nous retiendrons de ce dimanche, c’est le retour, SUR LE PARQUET, de Monsieuuuuuuuur Aleeeeeex Sandrooooooon, jeune retraité du basket (pas du pickwick). On espère tous la confirmation de ce retour au plus haut niveau…

 

J’aimerai également remercier Gelée, clubman par excellence, qui était bien présent durant le match mais n’a pas eu l’occasion de monter. Il a néanmoins  motiver les troupes avec enthousiasme. Tout comme François, qui arrive à se lever quand il  ne joue pas. Très belle prestation au chrono  de sa part.

 

Au complet, au retour, moi je dis qu’on va se les faire…

Vendredi 16/12/2016: ASUB Tennis-BNB 40-32 (reserve: 29-48)

Splendide et retentissante victoire contre le champion en titre.

C’était déjà il y a 15 jours mais qu’elle était belle cette victoire.

Car c’était pas gagné d’avance. Costa, François, Coach Fred, Laurent, entres autres manquaient à l’appel.

Alors certes, il manquait quelques joueurs du côté des banquiers mais ça les empêchaient pas de démarrer pied au plancher.

Le match était quasi plié après le 1er quart.

Et puis, mine de rien (la panne du tableau d’affichage a du bien aidé), on est revenu dans le parcours.

Nico a comme d’hab balancer ses shoots qui rentraient les uns après les autres sans que ce perturbe nos adversaires, sans doute trop confiant.

Comment on est arrivé à seulement  25-27 à la mi-temps, ça, personne ne sait l’expliquer.

A la mi-temps, le mot d’ordre était clair, on cadenasse tout.

Message reçu 5 sur 5. Le pack a fait le job, O point encaissé sur tout le quart !

Seul hic, 0 point marqué non plus……. !

Du jamais vu selon les arbitres.

Fin de match épique et au final, une victoire made in asub, avec les tripes, le cœur….

Les renforts de la réserve avaient visiblement tous piscine, on a donc assuré l’essentiel pour le match réserve, éviter le forfait.

Prochain match, ce dimanche 8 janvier at home contre la révélation de cette saison, la nouvelle équipe du Bababru, candidat déclaré au titre. Plus fort, plus rapide et plus jeune que la Banque national.

Mais même pas peur, enfin si on a une équipe….