Chant de l’ASUB

L’ASUB (air de « La Bourguignonne ») – 2ième version – novembre 2011
Nouveau chant de l’ASUB … 20 novembre 2011, un symbole! 
 
 
Du coach de l’équipe,
Moi j’ai vu le jour.
Du jus de sa trique,
Le fruit de l’amour.
Depuis ma naissance,
Il m’avait nourri,
En reconnaissance,
Je bois toute la nuit.
 
Joyeuse équipe de basket,
Je n’ai jamais eu de ballon,
Mais chaque fois que l’on fait la fête,
Je suis fier d’être avec ces cons.
 
C’est assis sur le banc,
Toujours dans le froid.
Que je cuve mon Rhum blanc,
Plus heureux qu’un roi.
J’me casse pas les couilles,
Car à chaque mi-temps,
Moi je me débrouille,
Pour reprendre du blanc.
 
Refrain…
 
Le coach est aimable,
Il me fait jouer.
Je tire à tout diable,
C’est encore raté.
Il me dit « bonhomme »
Je plains ton destin,
Ce soir tu afonnes,
Ca tu le veux bien.
 
Refrain…
 
Et vous supportrices,
Approchez un peu.
Nous aimons vos cuisses,
Et vous notre jeu,
Devant notre adresse,
Vous viennent des envies,
Nous entre vos fesses,
Mettrons notre vit.
 
Refrain…
Et je fier, et je suis fier, et je suis fier d’être parmi ces cons…
Et je fier, et je suis fier, et je suis fier d’être parmi ces cons…
 
 
L’ASUB Ancienne Version (air de « La Bourguignonne »)
 
C’est dans cette équipe,
Que j’ai vu le jour.
Mon coach était digne,
De tout mon amour.
Depuis cette naissance,
Il m’a nourri,
En reconnaissance,
Je bois toute la nuit.
 
Joyeuse équipe de basket,
Je n’ai jamais eu de ballon,
Quand je vois jouer ces mecs,
Je suis fier d’être avec ces cons.
 
Toujours sur le banc,
Assis dans le froid.
Cuvant mon rhum blanc,
Plus heureux qu’un roi.
Jamais je n’ m’embrouille,
Car à chaque mi-temps,
Moi je me débrouille,
Pour reprendre du blanc.
 
Refrain…
 
Le coach est aimable,
Il me fait jouer.
Je tente ma chance,
Malheur rien ne rentre.
Il me dit « bonhomme »
Je plains ton destin,
Ce soir tu deviens,
L’homme qui afonne.
 
Refrain…
 
Et vous supportrices,
Approchez un peu.
Oui vous équipiers,
Malgré notre jeux,
Amis des belles passes,
Réclamez vos droits,
Devant la victoire,
Afonnez 3 fois.
 
Refrain…
Et je fier, et je suis fier, et je suis fier d’être parmi ces cons…
Et je fier, et je suis fier, et je suis fier d’être parmi ces cons…
 
 
Le basket (air « le travail c’est la santé » – Henry Salvador – 1965)
Voir le lien suivant pour se mettre dans le bain
Mais notre version, c’est plutôt celle-là !!
Le travail c’est la santé,
Rien faire c’est la conserver,
Les prisonniers du boulot,
Font pas de vieux os.
 
Ces gens qui courent au grand galop,
En auto, métro ou vélo,
Vont-ils voir un film rigolo,
Mais non ils vont à leur boulot.
 
Le travail c’est la santé,
Rien faire c’est la conserver,
Les prisonniers du boulot,
Font pas de vieux os.
 
Ils bossent 11 mois pour les vacances,
Et sont crevés quand elles commencent,
1 mois plus tard ils sont costauds,
Mais faut reprendre le boulot.
 
Le travail c’est la santé,
Rien faire c’est la conserver,
Les prisonniers du boulot,
Font pas de vieux os.
 
Dire qu’il y a des gens en pagaille,
Qui courent sans cesse après le travail,
Moi le travail me court après,
Il n’est pas près d’me rattraper.
 
Le travail c’est la santé,
Rien faire c’est la conserver,
Les prisonniers du boulot,
Font pas de vieux os.
 
Maint’nant dans le plus p’tit village,
Les gens travaillent comme des sauvages,
Pour se payer tout le confort,
Quand ils ont tout, ben ils sont morts.
 
Le travail c’est la santé,
Rien faire c’est la conserver,
Les prisonniers du boulot,
Font pas de vieux os.
Le basket c’est la santé,
Il suffit d’nous regarder.
Le whisky et la Stella,
Nous ont n’connaît que ça.
 
L’adversaire au grand galop,
Prépare ces armes pour la bataille,
Fier et droit sur nos guibolles,
Nous on crie tous « carambolle »
 
Le basket c’est l’amitié,
Il suffit d’nous regarder.
Les restos et la guindaille,
Nous ont n’connaît que ça.
 
On bosse 8heures avant notre match,
Déjà crevé quand il commence,
Mais 1 heure plus tard on est costaud,
Rendez-vous dans un bistrot.
 
Le basket c’est dangereux,
Il suffit d’nous regarder.
Les chevilles, les doigts cassés
Nous ont n’connaît que ça.
 
A chaque fois c’est la pagaille,
On court tous après la balle,
Heureusement qu’après ce catch,
On s’ rattrape sur l’après match.
 
Mais l’Asub c’est aussi ça,
Des gens qui ne viennent pas,
On a beau être 25,
Nous on fini toujours à 5.
 
Fini ce gamahuchage,
On va boire comme des sauvages,
Encore un petit effort,
Non, l’ASUB n’est pas mort.
 
Le basket c’est la santé,
Il suffit d’nous regarder.
Le whisky et la Stella,
Nous ont n’connaît que ça.

 

 

Le basket c’est la santé,
Il suffit d’nous regarder.
Le whisky et la Stella,
Nous ont n’connaît que ça.
 
Le basket c’est l’amitié,
Il suffit d’nous regarder.
Les restos et la guindaille,
Nous ont n’connaît que ça.
 
Le basket c’est sensuel,
Il suffit d’nous regarder.
La ch’mise blanche et le pot d’gel,
Nous ont n’connaît que ça.
 
Le basket c’est le soleil,
Il suffit d’nous regarder.
Le transat et le bronzage,
Nous ont n’connaît que ça.
(Non, c’est à chier ça !)
 
Le basket c’est sexuel,
Il suffit d’nous regarder.
La branlette et XXL,
Nous ont n’connaît que ça.
(censuré !)
 
Le basket c’est dangereux,
Il suffit d’nous regarder.
Les chevilles, les doigts cassés
Nous ont n’connaît que ça.
 
Le basket c’est merveilleux,
Il suffit d’nous regarder.
Tout sourire et tout joyeux
Nous ont n’connaît que ça.
 
Mais l’Asub c’est aussi ça,
Des gens qui ne viennent pas,
On a beau être 25,
Nous on fini toujours à 5

 

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